À quoi sert un antioxydant
La matière s’oxyde lorsque des électrons libres d’oxygène (radicaux libres) s’attachent aux molécules qui la composent. Pour une molécule de fer, par exemple, l’oxydation se traduit par la rouille. Dans un organisme vivant, elle se traduit par des réactions inflammatoires ou de type allergique. C’est ce que l’on appelle le stress oxydatif, qui est à l’origine de nombreuses maladies et de divers désordres physiologiques : troubles cardiovasculaires, diabète, cancers, maladies dégénératives ou auto-immunes comme les différentes formes d’arthrite, la sclérose en plaques ou la maladie de Crohn, etc.
Un antioxydant a pour effet d’inhiber l’oxydation de diverses substances biologiques dans l’organisme, en neutralisant les radicaux libres responsables des dommages causés par l’oxydation. Par analogie, on peut dire qu’un antioxydant est une sorte d’antirouille physiologique.
Agir à la source des maladies chroniques
Au cours des deux dernières décennies, la recherche scientifique a permis de comprendre que le stress oxydatif était associé au vieillissement et à l’apparition des maladies chroniques. Les données dont nous disposons aujourd’hui indiquent en effet que l’oxydation physiologique serait à la source de l’accélération du processus de vieillissement et contribuerait de manière marquée à la survenue de diverses maladies caractérisées par la dégénérescence des fonctions qui permettent normalement le maintien de la santé. D’où l’intérêt marqué pour les substances antioxydantes qui peuvent contrer les effets néfastes des radicaux libres.
Fournir à son corps de bonnes sources d’antioxydants, c’est contribuer à prévenir l’apparition des maladies dégénératives chroniques en s’attaquant à la principale cause de la dégénérescence : l’oxydation et le stress physiologique qu’elle engendre. Chez une personne déjà atteinte par la maladie, un apport adéquat d’antioxydants offrira un soutien permettant de contrer la progression de la dégénération des tissus et des fonctions affectées et de faciliter le retour à la santé.
Nos sources d’antioxydants
Les diverses substances antioxydantes varient entre elles quant à leur efficacité. Elles n’ont pas toutes le même pouvoir antioxydant et elles ne sont pas toutes aussi bien absorbées par l’organisme. Par ailleurs, les extraits hautement contrés employés peuvent renfermer des résidus d’autres substances qui pourraient nuire à la santé, comme des polluants agricoles, environnementaux ou industriels. Étant nous-mêmes fabricants des extraits qui entrent dans la composition de nos antioxydants, nous accordons le plus grand soin au choix des matières premières et à l’intégrité des procédés d’extraction.
Écorce de pin blanc
L’ingrédient principal d’Annedda ANTIOXYDANT+® est l’extrait d’écorce de pin blanc normalisé à 95% de proanthocyanidines. L’écorce provient d’arbres ayant poussé dans de grandes forêts de l’Est de l’Amérique du Nord, à l’abri des polluants agricoles, atmosphériques et industriels. Notre procédé exclusif d’extraction, entièrement naturel, fait l’objet d’une licence mondiale exclusive, émise dès 1997 par Agriculture et Agroalimentaire Canada, pour l’extraction, la purification et l’isolation des substances actives de l’écorce de pin blanc (Pinus strobus). L’extrait phare d’Annedda®, un antioxydant exceptionnel, le meilleur de sa catégorie à l’échelle mondiale. Ce produit renferme également de l’églantier, le fruit du rosier sauvage (Rosa canina), naturellement riche en vitamine C, un antioxydant dont les propriétés sont bien connues.